Trump a sonné la fin de la récré mondialiste, jugeant, à tort, que les EU en ont été les grands perdants. C'est la perspective d'un monde possiblement pacifié qu'il enterre.
Il est intelligent, jeune, éduqué et cultivé, ambitieux et se voulant visionnaire, autant de conditions nécessaires pour atteindre la dimension de chef d'Etat, mais pas encore suffisantes.
Comment sommes nous passés en quelques années de la vision d'un futur mondialiste et pacifique à celui d'une planète dominée par l'égoïsme et la violence des rapports de force ?